Derrière ce titre qui joue volontairement sur le paradoxe, se cache un album rempli de contrastes : léger mais réfléchi, ensoleillé mais mélancolique, intime mais taillé pour les refrains rassembleurs. Cocktail monotone, c’est le désir de s’échapper, voyager, peut-être trouver l’amour — mais sans pression, sans attentes démesurées, dans ce monde saturé de dopamine et de micro-contenu.

DIX CHANSON, DIX PETITES AVENTURES
Funambule ne fait pas que lancer des chansons : il raconte des histoires.

Avec « Cocktail monotone », on suit un flirt à sens unique dans un café, jamais assumé mais toujours répété — la preuve que la routine peut aussi avoir du charme.

« Après-ski » est une carte postale festive et douce-amère des années étudiantes, entre souvenirs flous et amitiés éphémères autour d’un feu.

« Barbade » chante l’envie universelle de fuir l’hiver pour mieux revenir chez soi, un billet d’avion qui devient une déclaration d’attachement.

« Hors-la-loi » plonge dans la tension d’un amour toxique qui revient tout chambouler, sur un rythme pop électrisant.

« Nuit à Saïgon » transporte au Vietnam, là où l’amour naît au cœur du chaos, entre klaxons, chaleur et étreintes volées sur un cyclomoteur.

« Tattoo » immortalise la fin de l’été et le retour d’un amour qui revient bronzé, libre… et marqué d’un dessin indélébile.

« Loup-de-mer » trace le portrait d’un solitaire assumé qui quitte tout pour se réinventer face à l’horizon gaspésien.Et entre tout ça, des escales lumineuses comme « Hawaii », « À vélo » et « Ciao Pow » viennent compléter le voyage.

DERRIÈRE LE BAR…QUATRE FUNAMBULES
Funambule, c’est l’histoire d’une rencontre improbable dans les couloirs de l’École Polytechnique de Montréal. Quatre étudiants en ingénierie qui, de jam en jam, ont découvert que leurs équations vibraient mieux en accords de guitare qu’en tableaux Excel. Depuis 2020, Jean-Guillaume Langlois, Thomas de Chevigny, Émile Ménard-Reid et Anthony Gagnon avancent ensemble sur leur fil, en équilibre entre rigueur et folie douce.

Jean-Guillaume est le bâtisseur tranquille, capable de bricoler un meuble comme de monter une chanson de A à Z. Thomas, avec son humour pince-sans-rire et sa guitare toujours prête, apporte une touche lumineuse et sensible. Émile, philosophe rêveur et bassiste planant, est celui qui aime refaire le monde entre deux répétitions. Et Anthony, moteur rythmique et rieur infatigable, donne autant le tempo que le ton. Ensemble, ils forment une bande de musiciens-ingénieurs qui prennent leur art au sérieux… mais sans jamais être eux-mêmes trop sérieux.

Produit par Funambule, Cocktail monotone est le fruit d’un travail d’équipe où chacun a mis la main à la pâte. La réalisation a été assurée par Anthony Gagnon et Jean-Guillaume Langlois. Anthony a également signé le mixage.

UNE BIOGRAPHIE EN ÉQUILIBRE
Depuis ses débuts, Funambule trace une ligne singulière dans le paysage musical québécois. Finaliste au Festival international de la chanson de Granby en 2021, le groupe se fait connaître avec son premier album Mieux que la veille (2022), notamment grâce à l’extrait « Bonne nuit St-Denis » qui s’impose rapidement à la radio. Leurs chansons sont solaires, accessibles, mais jamais vides : elles parlent d’amour, de temps, de voyages, d’engagement et de tous ces petits détails qui font la beauté du quotidien.

Leur complicité fait toute la différence : pas de leader imposé, mais un équilibre mouvant, comme sur un fil. C’est cette dynamique horizontale, ludique et pleine de sincérité qui séduit autant sur disque que sur scène. Avec Cocktail monotone, Funambule confirme qu’il n’est plus un secret bien gardé, mais une des formations les plus attachantes et rafraîchissantes de la scène d’ici.

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Source: Disques Passeport
Promotion radio / Relations de presse:
Simon Robitaille, Taxi Promo | 514.402.4254 | simon@taxipromo.ca

Leur musique propose un son estival, léger, mais toujours porté par des textes riches et un groove bien ancré. Enracinés dans l’univers du rock québécois, mais résolument tournés vers la pop moderne, ils chantent l’amour sous toutes ses formes, le passage du temps, l’engagement social et les petits détails qui font la beauté du quotidien.

En août 2021, Funambule fait un premier pas important en atteignant la demi-finale du Festival international de la chanson de Granby, décrochant au passage le Prix Taxi Promo / Disques Passeport. Cette reconnaissance devient un moteur puissant pour la suite. En mai 2022, leur album Mieux que la veille voit le jour, mené par l’extrait « Premières lueurs », puis par « Tadoussac ». C’est toutefois avec « Bonne nuit St-Denis » que le groupe se fait une véritable place sur les ondes québécoises : la chanson touche un large public et reçoit un accueil plus que chaleureux des radios francophones du pays. En mai 2025, ils dévoilent « Hawaii », un nouvel extrait solaire qui annonce Cocktail monotone, leur deuxième album à paraître à l’automne.

QUATRE MUSICIENS, QUATRE UNIVERS – UNE MÊME CORDE RAIDE

Jean-Guillaume Langlois
(voix, guitare acoustique)

Jean-Guillaume, c’est un bâtisseur. Autant en studio qu’à la maison, où il fabrique ses propres meubles entre deux répétitions. Ingénieur logiciel de formation, il est aussi l’un des architectes du son de Funambule : il réalise, compose, arrange… et blague souvent en coulisses. Il a grandi dans une famille où la musique et la débrouillardise allaient main dans la main. Son grand-père jouait de tous les instruments sans jamais avoir pris de cours, et les veillées de Noël devenaient vite des séances de jam entre mandoline, guitare et accordéon. Musicien autodidacte, il a touché à tout : piano, tuba, batterie, guitare. Il connaît aussi (selon la rumeur) un bon nombre d’imitations — souvent réservées aux moments de délire collectif vers 2 h du matin. Il incarne le cœur tranquille du groupe, celui qui équilibre les débats et qui sait quand s’effacer pour faire briller les autres.

Thomas de Chevigny
(voix, guitare électrique)

Derrière son humour pince-sans-rire et son énergie contagieuse, Thomas cache une grande sensibilité. Enfant unique, il a grandi dans une maison où la musique servait de bande sonore à tous les moments du quotidien. Entre les Beatles et Miles Davis, son père avait toujours un bon CD qui tournait, créant une ambiance sonore riche et inspirante. Il découvre la guitare à 7 ans et reçoit des leçons pendant des années avec un professeur privé, son père toujours présent à ses côtés à chaque rencontre. Ce lien familial a profondément influencé sa relation à la musique. Au secondaire, il monte un groupe et joue « Sweet Child O’ Mine » devant toute l’école — une révélation. Aujourd’hui ingénieur, il bricole des moteurs, cuisine comme un chef et garde une peur irrationnelle des poissons, même s’il adore nager avec eux… et les manger. Thomas est aussi celui qui arrive parfois sur le fil, mais jamais sans idées brillantes. Il est également l’un des plus investis dans les paris sportifs (même si, avec Émile, ils sont à -100 $… en toute sérénité).

Émile Ménard-Reid
(voix, basse)

Émile est le philosophe du band. Passionné, rêveur, un brin gauchiste, il aime refaire le monde entre deux essais de ligne de basse. Son histoire musicale commence avec une guitare offerte à son père par sa tante, puis se poursuit à 10 ans lorsqu’il gratte ses premiers accords… avant de se lancer, adolescent, dans un band de métal inspiré d’Iron Maiden et de Megadeth. À 16 ans, il fonde un groupe plus psychédélique nommé Edgar, inspiré par Pink Floyd, Beau Dommage, King Crimson, et d’autres figures planantes de la musique. Mais c’est à l’université, au sein de Polyjam, qu’il découvre la basse… et l’amour pour cet instrument. Depuis, il ne s’en sépare plus. Aujourd’hui, Émile est spécialiste en simulateur de vol chez CAE, il s’adonne à l’achat compulsif de gadgets électroniques — parfois très utiles, parfois… moins. Fait amusant : il prétend que jouer de la guitare au salon familial lui permet d’éviter les corvées lors des réunions de famille. Difficile à contredire quand tout le monde chante autour.

Anthony Gagnon
(batterie)

Anthony, c’est le moteur rythmique… et comique du groupe. Batteur, chanteur, mixeur, ingénieur mécanique et éternel bidouilleur de sons, il est celui qui veut toujours que ça « sonne mieux ». Derrière ses blagues spontanées, ses idées de mix et ses critiques pointues se cache un perfectionniste attachant. Très jeune, il passe des heures dans le salon à manipuler l’égaliseur du système stéréo familial, ou dans l’auto à écouter ses cassettes maison. Il tombe amoureux de la batterie en secondaire 1, debout derrière un prof en spectacle : il en sent la puissance dans ses os. Le coup de foudre est immédiat. Anthony a fait partie de plusieurs bands de covers (rock, country, métal) et il est aujourd’hui designer mécanique. Il adore réparer des voitures, rénover des maisons… et faire rire ses amis. Il est aussi réputé pour ne jamais s’endormir au volant — même après 18 heures de route — et pour avoir appris à conduire manuel… en maternelle, simplement en regardant son chauffeur d’autobus.

ENSEMBLE, EN ÉQUILIBRE
Chez Funambule, la dynamique est horizontale : pas de leader imposé, mais une synergie naturelle, où chaque voix compte. Le rôle de rassembleur se déplace selon le moment, le projet ou l’humeur du jour. L’amitié précède tout, et c’est sans doute ce qui donne à leur musique une sincérité si palpable. En peu de temps, Funambule s’est taillé une place originale sur la scène québécoise : une pop colorée et réfléchie, ancrée dans la tradition mais jamais figée. Leur fil, ils le tendent de spectacle en spectacle, avec cette même envie de toucher droit au cœur, sans jamais perdre l’équilibre.